Ciel bleu

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The London, Edinburgh and Dublin Philosophical Magazine and Journal of Science. 1871.

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Documents

Requêtes

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Chaleur et température

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La chute et l’IA

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En compléments quelques vidéos utiles :

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Le coureur, la balle et l’IA

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POURQUOI UN CADRE D’USAGE DE L’IA EN ÉDUCATION ?

Le développement rapide et continu des IA, et notamment des IA génératives, leur simplicité d’usage et la diversité des contenus qu’elles ont la capacité de produire, en accès souvent gratuit mais peu respectueux des données personnelles, suscitent d’intenses réflexions quant à leurs applications pour l’éducation, en France comme à l’international. De fait, les IA peuvent remettre en question de façon profonde certains fondamentaux de l’École, comme le rapport à la connaissance et aux apprentissages, la construction de cours, la production de devoirs et leur évaluation. Elles peuvent par ailleurs s’avérer des outils au service de l’enseignement et des apprentissages, mais aussi pour soutenir le « geste enseignant » (dans la préparation de cours, l’aide à l’évaluation, etc.) et pour simplifier des tâches administratives, dès lors que les agents en maîtrisent les enjeux et les usages. L’École doit donner aux élèves les clés pour comprendre cette technologie, en appréhender les opportunités comme les limites, développer un esprit critique à son égard et, pour certains – filles comme garçons –, leur permettre de s’orienter vers des études et des métiers dans le domaine de l’intelligence artificielle. Si l’IA constitue un enjeu et un apport potentiel pour l’éducation, elle doit néanmoins être utilisée dans le respect d’un cadre éthique et juridique, de manière consciente et raisonnée alors que les outils disponibles actuellement sont majoritairement non souverains, non libres, opaques dans leur fonctionnement et leurs données d’entraînement, et consommateurs en ressources et en énergie.

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L’IA est devenue en deux ans un grand sujet pour l’école, elle fait gagner du temps aux cadres et aux professeurs qui l’utilisent (il y a plein de manières de s’en servir, nous en parlerons) et aux élèves, ce qui exige de redéfinir le travail demandé à la maison par exemple. Que sait-on au juste des pratiques des uns et des autres ? Des solutions vraiment intéressantes sont-elles proposées par l’IA pour améliorer les apprentissages ? Peut-on faire confiance aux géants de la tech pour aller dans les bonnes directions pédagogiques, éthiques, et économiques ? En résumé, peut-on mettre l’intelligence artificielle au service de l’éducation ?

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Le cadre d’usage du MEN : encadrer et limiter les pratiques !

Le Cadre d’usage proposé par le MEN a une caractéristique principale : encadrer c’est-à-dire mettre en garde, fixer des limites, rappeler les interdictions. Cette manière de faire, qui semble située culturellement, a pour but de fixer des limites ce que l’on retrouve souvent dans la manière dont, actuellement, les responsables politiques orientent leur action. Si cette manière de faire permet de rassurer les acteurs, elle n’aborde pas directement les deux questions essentielles : celle des pratiques sociales de l’IA d’une part et celle de la pédagogie et de la didactique face à l’IA. Si le texte parle des potentialités, il y associe aussitôt les risques et les limites. On retiendra en particulier ce passage étonnant : « L’utilisation d’une intelligence artificielle générative pour réaliser tout ou partie d’un devoir scolaire, sans autorisation explicite de l’enseignant et sans qu’elle soit suivie d’un travail personnel d’appropriation à partir des contenus produits, constitue une fraude. » Le terme de « fraude » employé ici semble amener à des sanctions avant même que soit posée la question du contexte, en particulier celui des devoirs à la maison. Les seules préconisations pédagogiques du texte sont rassemblées en fin de texte de manière un peu courte : « Adaptez les devoirs et les modalités d’évaluation »« N’utilisez l’IA que lorsqu’une plus-value pédagogique est avérée » et « Adaptez les usages de l’IA générative en fonction du niveau ». Ce qui ressort de ce texte c’est avant tout la volonté de « limiter » les actions de terrain et de « protéger » l’institution. Et il semble que ce soit là la difficulté des décideurs face à une transformation importante de la société et donc de l’enseignement. Alors que les responsables institutionnels rappellent constamment les fondamentaux, ils sont face à une réalité pour laquelle ils ont bien du mal à se situer.

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Data center

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Documents

Compléments

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Méthanisation

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Documents

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Energie « libre »

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Feu

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Marcelin Berthelot. Le Feu, le calorique, la chaleur animale d’après Lavoisier. Revue des Deux Mondes tome 98, 1890.  Extraits

D’après Stahl, le charbon et les corps combustibles sont changés par la combustion en chaleur et lumière  ; et réciproquement, lorsqu’on chauffe les corps combustibles avec les chaux métalliques (c’est à dire avec nos oxydes), ils s’y fixent, en régénérant les métaux libres, tels que le plomb, l’étain, le fer. Le feu, ainsi fixé sur les corps, dont il concourt à augmenter le poids, et susceptible de s’en séparer en sens inverse par la combustion, était désigné sous le nom de phlogistique. […] Cette théorie, après avoir été regardée comme certaine pendant près d’un siècle, fut renversée de fond en comble par Lavoisier, qui montra que les changemens de poids et les fixations ou les pertes de matière accompagnant la combustion sont inverses de ce que l’on avait supposé jusque-là. Lorsque le charbon brûle, et semble disparaître, en réalité sa matière ne se dissipe point ; elle ne perd point son poids à l’état de chaleur, ou de phlogistique. Loin de là, c’est le charbon qui s’unit avec une seconde substance matérielle, l’oxygène, ignoré jusqu’au temps de Lavoisier ; et il forme ainsi un composé nouveau, l’acide carbonique, dont le poids est supérieur à celui du charbon primitif, en raison exacte du poids de l’oxygène fixé sur lui. Au contraire, lorsque la chaleur réduit une chaux métallique mêlée de charbon à l’état de métal libre et brillant, cette réduction n’est pas l’effet de la fixation d’une matière spéciale, telle que le prétendu phlogistique ; car le poids du métal est moindre que celui de la chaux métallique qui l’engendre. Mais la matière perdue par cette dernière reparaît, unie à la matière même du charbon, sous la forme d’un gaz nouveau, dont le poids représente exactement celui des élémens qui ont concouru à le produire. Telles étaient les découvertes de Lavoisier  : elles changeaient complètement l’interprétation des phénomènes chimiques adoptée jusque-là et faisaient évanouir le système d’une chaleur pondérable, susceptible de se fixer sur les corps ou de les quitter, en en accroissant ou en en diminuant le poids.

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Documents :

Scientifiques :

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La pollution atmosphérique

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This online platform uses data from the Copernicus Sentinel-5P satellite and shows the averaged methane concentrations across the globe — using weekly averaged maps. Cette plateforme en ligne utilise les données du satellite Copernicus Sentinel-5P et montre les concentrations moyennes de méthane à travers le monde, à l’aide de cartes moyennes hebdomadaires.

This online platform uses data from the Copernicus Sentinel-5P satellite and shows the averaged carbon monoxide concentrations across the globe — using a 3-day moving average.  Cette plateforme en ligne utilise les données du satellite Copernicus Sentinel-5P et affiche les concentrations moyennes de monoxyde de carbone à travers le monde, en utilisant une moyenne mobile sur 3 jours.

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Documents

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Microplastiques

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Et la vidéo

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